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Quelque chose comme un début

Répondant à l’invitation du bureau syndical, plusieurs membres du SEECD se sont rencontrés dans la matinée du 7 juin pour échanger sur leur vision du cégep et de la communauté enseignante en abordant la question d’un plan d’action commun. La rencontre, décontractée et cordiale, a permis de faire des observations intéressantes quant aux préoccupations des enseignants et enseignantes.

La coopération avec les différents intervenants au sein de l’organisation apparait être importante pour développer des liens et des projets. La nécessité de développer des espaces de discussion entre pairs et entre collègues des différents secteurs a été exprimée par plusieurs participants. Il leur apparaît important de développer des lieux d’échange et des moments de rencontre pour briser l’isolement et le travail en «silos». Si l’information doit être mise en commun dans des moments de rassemblement, le partage et l’échange, eux, participent à un équilibre entre action et réflexion.

La question de la collégialité des relations a occupé beaucoup de place. La reconnaissance du travail enseignant passe par la valorisation, la légitimation et le respect à l’égard de soi et des autres. Un enseignant a remarqué comment les notes internes diffusées par certains gestionnaires révélaient la hiérarchie en place.  Or, cette dernière est vue comme un obstacle majeur à la réciprocité, à la confiance et à l’implication. D’autres enseignants ont relevé le décalage de valeurs et de préoccupations qui existe entre le corps enseignant et certains gestionnaires. La pensée managériale affecte tout le monde dans l’organisation. Alors que certains ont insisté sur le besoin d’une d’écoute réelle de la part des gestionnaires, afin d’établir une communication et une coopération qui soient authentiques, d’autres ont manifesté le désir de créer un nouveau type de rapport situé en dehors de la confrontation. Il faut faciliter la collaboration en prenant les devants plutôt qu’en étant défensifs, en proposant des solutions plutôt qu’en créant des conflits, voire en imposant certains sujets qui sont au coeur des préoccupations des enseignants.

Il a aussi été question de l’engagement, un élément crucial qui, de l’avis de plusieurs, peut créer une masse critique dans les échanges. La crédibilité de la communauté enseignante est accrue par l’implication de ses membres et par leur concertation. Si la vision de la collaboration et du dialogue est partagée, le rôle du syndicat est important sur ce plan, et il faut y voir avec vigilance et prudence. Aux yeux de certains, l’exercice d’une pression demeure parfois nécessaire dans certains dossiers. Cependant, l’engagement participe à créer un rapport de force qu’il faut entretenir, car il permet la légitimation des actions.

D’un autre côté, des actions concrètes doivent permettre d’appliquer certains principes et certaines valeurs. En ce sens, un plan d’action stratégique syndical permet de donner une direction au collège. Quelqu’un a relevé qu’il était important de mettre les moyens dans les mains des l’enseignants. Or, les principaux obstacles à l’engagement semblent être la lourdeur de la charge de travail et le manque de temps. C’est pourquoi il faut faire l’examen du métier d’enseignant. Il est également important de comprendre la culture locale pour opérer un changement de mentalité qui soit à l’image de la communauté. Afin de favoriser l’engagement de chacun, une perspective plus élargie de l’action syndicale est souhaitée. Plusieurs ont signifié qu’il est important de partager une vision commune afin de favoriser le bien de la collectivité.  Il est temps de se réapproprier les règles et les lieux de décision. La planification stratégique est un moyen d’y voir. Dans l’ensemble, les objectifs généraux du plan proposé dans le document de travail, objectifs qui sont axés sur le commun, on rallié les participants :

1) Reconnaissance de l’écosystème éducatif, environnemental et social

2) Renforcement de la communauté enseignante

3) Prise en charge commune de l’éducation

Cependant, dans les prochains mois, il sera important de procéder par étapes et à petits pas. Le document de travail actuel, qui présente des objectifs généraux axés sur le commun, devra être approfondi. Certains ont exprimé le souhait que ces objectifs reposent sur des valeurs clairement définies (par exemple la «coopération») et qu’ils conduisent à des actions concrètes. Il faudra bien jauger l’écart entre l’idéal et la réalité afin de ne pas verser dans l’utopie. Pour ce faire, il sera nécessaire de définir des enjeux et une mission à partir d’une analyse des faits et des données. Ces preuves permettront une argumentation reposant sur l’expertise enseignante.

Enfin, ce rassemblement informel a été l’occasion d’expérimenter des technologies permettant de nouvelles façons de partager l’information et d’organiser la discussion. Des outils collaboratifs ont permis d’avoir accès à de la documentation en ligne, d’avoir un ordre du jour ouvert que chacun pouvait modifier, d’inscrire et de suivre les tours de parole de façon participative et de contribuer en temps réel à la prise de notes tenant lieu de compte rendu. Tous les participants ont convenu que cette rencontre était une activité essentielle et qu’il fallait poursuivre l’exercice à l’automne prochain.

De semences et de pluie

L’éducation est en crise, l’école est au point mort quand elle n’a plus sa dimension humaine. Mais si, tout à coup, les éléments étaient favorables et la vie fleurissait à nouveau ?

Ken Robinson, qui parle de l’éducation comme lui seul sait le faire, avec une distance critique et des images fortes dignes d’un grand pédagogue, estime qu’il faut laisser les enseignants faire leur travail.

Une approche syndicale renouvelée

Avec la «nouvelle gestion publique», les valeurs et les modes d’opération de l’État sont largement inspirés du secteur privé et des principes néolibéraux. L’État va de pair avec le marché et ceci n’est pas sans conséquences sur l’éducation et sur la gestion du système éducatif. Dans ce contexte, où s’ajoutent les défis du monde contemporain (en termes d’environnement, d’énergie et de ressources), la communauté locale est appelée à jouer un rôle de premier plan. Le syndicalisme, comme acteur au sein de cette communauté, est amené à se transformer.

Le bureau syndical du SEECD estime qu’il pourrait être pertinent de renouveler l’approche syndicale en prenant appui sur le mouvement des Communs et sur les initiatives de Transition, où l’empowerment de la communauté et la démocratie participative sont des éléments essentiels. Cette perspective a été brièvement présentée dans les éditoriaux du bulletin syndical Panorama21 de février, mars et mai, de même qu’aux assemblées générales du 13 février et du 25 avril 2017. Cette approche sera discutée lors de la rencontre du 7 juin prochain, pendant laquelle il sera question d’un plan d’action stratégique local.

Un «commun» est constitué d’une ressource et d’une communauté d’usagers qui établit collectivement des règles de gouvernance de cette ressource. Le savoir, les connaissances, la pédagogie, les relations humaines et professionnelles, tout comme le cégep lui-même (comme organisation ou comme lieu physique) sont autant de ressources dont fait usage la communauté collégiale. De l’éthique à la pédagogie, en passant par la citoyenneté, l’environnement ou la technologie, la gestion commune s’articule autour de valeurs et de principes partagés par tous. Elle peut prendre autant de formes qu’il y a de groupes au sein de l’écosystème éducatif. Tout commence par l’engagement individuel et la volonté de coopération dans un objectif de bien commun. Dans cette perspective, le mouvement des communs place l’État dans une position nouvelle et se présente comme une vigoureuse alternative à l’appropriation privée par le marché.

Pour plus d’information sur les communs, il existe une documentation qui croit à chaque jour. Pour commencer, on peut lire le bref ouvrage d’introduction intitulé «La renaissance des communs» de David Bollier. Si vous êtes à l’aise à lire en anglais, nous vous suggérons le bref texte d’Ugo Mattei «First Thoughts for a Phenomenology on the Commons». Il existe aussi le livre «Commun» de Pierre Dardot et Christian Laval, dont Éric Martin de l’IRIS a fait un résumé intitulé «Du néolibéralisme au commun» (partie 1 et partie 2). Le SEECD a également produit une capsule vidéo sur les communs en éducation (adaptée d’une présentation) qui est disponible en ligne.

Concernant la pratique des communs, certains mouvements peuvent être très intéressants à observer. Parmi eux, on remarquera les Initiatives de transition qui cherchent à développer une approche holistique de la résilience des communautés. Ce sont des projets citoyens qui proposent des façons concrètes de s’organiser à petite échelle pour inspirer de grands changements, notamment en ce qui a trait aux défis que représentent les changements climatiques et la fin de l’ère du pétrole. Partout, des Initiatives de transition participent à créer le monde de demain avec une vision positive qui stimule l’engagement. On pourra consulter à cet effet le tout nouveau «Guide essentiel de la Transition» traduit en français. Pour quiconque désire aller plus loin, le «Manuel de Transition» (gratuit en anglais ici), de Rob Hopkins, largement inspiré des principes de la permaculture, est un ouvrage incontournable pour ceux qui désirent participer au changement dès aujourd’hui.

Veuillez confirmer avant le 1er juin si vous comptez participer à la discussion. Merci et bonne lecture !

 

Cégep : les profs investis plus que jamais

La Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ) tient à rétablir certains faits en réaction à l’article publié dans La Presse intitulé De plus en plus de profs délaissent l’enseignement à temps plein. « Cet article porte malheureusement à confusion à la fois sur l’engagement très important des profs de cégep vis-à-vis de l’enseignement et sur le programme de réduction du temps de travail. Ce ne sont pas les libérations qui mettent de la “pression sur le système”, c’est plutôt le système qui met de la pression sur les profs! », de déclarer Lucie Piché, présidente de la FEC-CSQ.

 

L’enseignement collégial, un exemple pour l’éducation supérieure

Rappelons que si le nombre d’enseignantes et d’enseignants qui obtiennent une libération de leur tâche d’enseignement semble important, cela ne reflète ni le temps réellement accordé, ni l’ampleur de la charge de travail à être fourni en contrepartie. « Plusieurs d’entre nous peuvent avoir plus d’un millier de notes à remettre par année, alors que d’autres ont jusqu’à dix cours à préparer. Affirmer que nous délaissons l’enseignement lorsque la direction accepte de nous décharger d’un cours ou deux pour mettre sur pied un centre d’aide à l’apprentissage ou à la réussite, mettre à jour un programme d’études, développer des outils pédagogiques, n’est tout simplement pas justifié », d’ajouter la présidente de la FEC-CSQ.

 

Une grande partie des montants accordés aux cégeps pour les libérations l’ont été hors négociation ou hors convention par le gouvernement lui-même pour développer les activités pédagogiques dans le réseau. Ce sont d’ailleurs les directions qui ont le plus de prise sur l’utilisation de ces sommes qui servent avant tout à soutenir la réussite des étudiantes et des étudiants dont celles et ceux en situation de handicap qui représentent environ 12 % de la population étudiante. Ce qui se fait au collégial dans le domaine est d’ailleurs pris comme exemple pédagogique pour l’enseignement supérieur au Québec.

 

La réduction volontaire du temps de travail, une économie pour les fonds publics

Concernant le programme volontaire de réduction du temps de travail (PVRTT), rappelons que cette disposition prévue à la convention collective date de l’époque de Lucien Bouchard et des ententes sur le déficit zéro. En permettant à des employées et employés du secteur public de réduire leur temps de travail sans être rémunérés, les établissements économisent en remplaçant par une personne dont le salaire est moins élevé en raison de son ancienneté et donc de son niveau dans l’échelle salariale. Le maintien de certains avantages sociaux est donc largement compensé. Dans un contexte où les cas d’épuisement professionnel se multiplient et que certains avancent même que le Québec est en état de « surmenage social » , notamment en raison de modes d’organisation du travail qui en demandent toujours plus, il n’est pas étonnant que plusieurs cherchent une manière de garder la tête hors de l’eau. « Sacrifier une partie de son salaire pour éviter de tomber en congé de maladie illustre bien l’ampleur de la surcharge que vivent bon nombre de professeures et professeurs », de préciser Lucie Piché.

 

« À l’occasion du 50e anniversaire des cégeps, plutôt que de dénigrer injustement le corps professoral, il serait plus constructif de valoriser sa contribution au dynamisme des établissements collégiaux et leur apport aux activités sociales et culturelles de l’ensemble des régions du Québec », conclut-elle.

Travaux d’aménagement de la bibliothèque

Ce printemps, après un an de dormance, le comité consultatif sur les travaux de modernisation de la bibliothèque a été réactivé. Des rencontres hebdomadaires le tiennent très actif. Le comité a pu notamment donner son avis sur deux ébauches de plans de réaménagement et, au moment d’écrire ces lignes, une troisième version était prévue.

La bibliothèque n’est pas qu’un lieu hautement symbolique dans une école.  C’est un lieu qui permet l’accès à la connaissance, qui favorise et encourage l’apprentissage et qui participe à l’émancipation générale d’une société. C’est un bien commun qui devrait être au coeur de l’établissement, valorisé et ouvert.

Ce projet de réaménagement est pris très au sérieux. On se rappellera que la bibliothèque a fait l’objet d’une tempête d’idées de design et d’aménagement, soumises par la communauté, sous la forme d’un wiki mis de l’avant par le SEECD. Cet exercice était un pari, celui que nous arriverions tous ensemble à imaginer un lieu où il fera bon être, apprendre, partager, collaborer et étudier. Cette vision s’est matérialisée en un rêve plus ou moins clair d’une quarantaine de propositions. Certaines idées se recoupent : le besoin de créer des lieux inspirants où l’on puisse apprendre et trouver de l’aide, le besoin de vivre dans des lieux de travail confortables, pratiques et beaux, le besoin d’espace et de lumière. Nous sommes tous conscients que, pour des raisons liées au budget, aux délais ou même à l’architecture du bâtiment, ces idées ne seront pas toutes réalisées, mais, par le biais de cet exercice, nous manifestons que la coopération et l’échange entre nous peuvent être de grandes forces. Le comité consultatif poursuit sur cette lancée.

Un processus créatif est souvent un parcours difficile, semé de doutes et de remises en question. C’est aussi une période d’exploration ponctuée de découvertes imprévues. Lors de la rencontre du 28 mars, les membres du comité avaient bon espoir que la prochaine version du plan, qui sera soumise par l’architecte, répondrait mieux à leurs attentes. Cette esquisse permettra par la suite de créer des perspectives tridimensionnelles et des plans préliminaires. Ces dessins permettront certainement de se faire une bonne idée du projet.

Tempête d’idées autour de la bibliothèque

Les gouvernements fédéral et provincial ont annoncé l’attribution de subventions au Cégep de Drummondville pour moderniser la bibliothèque.

Le SEECD invite tous les membres de la communauté à participer à la mise en commun d’idées constructives pour concevoir ce lieu de partage, d’échange et de rencontres. Cette grande tempête d’idées prendra la forme d’une page wiki où chacun pourra formuler brièvement des idées concrètes de design. L’accueil est ici : https://wiki.seecd.org/index.php/Accueil

Merci de participer ! Vous courez la chance de gagner une bibliothèque qui vous ressemble !

Journée pédagogique : un élan rassembleur

L’organisation de la journée pédagogique du 17 janvier prochain marque un changement de ton significatif avec les événements similaires des années précédentes. Les organisateurs insufflent une vision tournée vers l’avenir qui mise sur l’engagement de la communauté enseignante. Elle témoigne d’un élan résolument rassembleur. En effet, la journée thématique de cette année se veut «un grand rassemblement» envisagé comme le «jour 1» d’une aventure qui pourrait inspirer des «chantiers» à venir et donner «une impulsion au développement professionnel».

Rappelons les ateliers offerts :

Combattre les biais cognitifs en situation d’enseignement par Guillaume Beaulac (professeur adjoint au Département de philosophie de l’Université Concordia).

Déconstruction des neuromythes : pour une pédagogie compatible avec le fonctionnement du cerveau des élèves par Jérémie Blanchette-Sarrasin (sous la supervision de Steve Masson, professeur au Département de didactique de l’UQÀM).

Le pédagogue stoïcien ou l’art de résister à la pression qui nous empêche d’être heureux dans notre rôle d’enseignant par Dominic Fontaine-Lasnier (enseignant au Département de philosophie du Cégep de Drummondville).

Google, une réponse à tout? par Jean-François Fortin (bibliothécaire professionnel, spécialiste en moyens et techniques d’enseignement au Cégep de Drummondville).

La conception universelle des apprentissages (CUA) en classe par Laure Galipeau et Catherine Soleil (enseignantes au Département de français au Dawson College) et Effie Konstantinopoulos (conseillère pédagogique au Dawson College).

Entre liberté individuelle et éthique professionnelle : comment s’y retrouver? par Manon Perreault (conseillère en ressources humaines agréée).

Lier l’intégration des technologies à la réussite éducative des apprenants: 20 stratégies pédagogiques par Thierry Karsenti (titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) en éducation).

Les sciences cognitives : comment les appliquer dans ma classe? par Jordan Raymond-Robidoux (enseignant au Département de philosophie au Cégep de Drummondville).

Principes et conditions de réussite de l’éducation inclusive par Nadia Rousseau (professeure au Département des sciences de l’éducation de l’UQTR).

La journée commence à 8h. Au plaisir de vous y rencontrer !

Remettre l’éducation sur les rails

Une douzaine de signataires, retraités de l’enseignement, a publié, dans Le Devoir du 6 janvier, un  texte intitulé «Cinq propositions pour remettre l’éducation sur ses rails». Les auteurs proposent de :

  1. réaffirmer les finalités historiques de l’instruction publique;
  2. cesser le financement public des écoles privées et refuser la sélection sociale par les filières d’élite dans le public;
  3. reconnaître le travail des enseignantes et des enseignants en augmentant leur autonomie professionnelle, leur reconnaissance sociale et leur salaire;
  4. revoir les contingentements dans les programmes d’éducation préscolaire et d’enseignement primaire et secondaire, et hausser les critères d’admission;
  5. refuser d’entonner la litanie ministérielle de la réussite éducative et d’avoir recours à la notion d’excellence en éducation en lieu et place d’une réflexion sur les causes et les solutions aux problèmes du système d’éducation.

Le texte est également appuyé par une quinzaine d’autres enseignants.

Le système éducatif finlandais

Le système éducatif finlandais est à contre-courant de bien des réformes réalisées ailleurs dans le monde ces dernières années. Il a fait l’objet de nombreuses études et ouvrages dont on peut tirer des conclusions fort intéressantes. À ce sujet, une série de quatre articles a été publiée dans Panorama21, le bulletin de la communauté enseignante du Cégep de Drummondville. Ces articles sont maintenant disponibles sur le site du Magazine PICbois :

1) École fondamentale
2) Enseignement
3) Organisation
4) Pistes d’avenir

Le bulletin syndical revient en force !

Vous avez sous les yeux le tout nouveau bulletin de la communauté enseignante du cégep de Drummondville, à travers lequel nous vous informerons, chaque mois, de ce qui se passe chez nous, et ailleurs.

Quatre numéros sont prévus pour l’automne. Les dossiers locaux et nationaux en cours, l’éducation, la pédagogie, les enjeux et débats de société et, évidemment, la vie syndicale y seront des thèmes privilégiés. Chaque numéro présentera un article de fond traitant d’un de ces thèmes.

Repères, Vue panoramique, Longue vue, Passages, Échos, Avancées, Boussole, Grands espaces, Balises, Feuille de route, les rubriques du Panorama21 sauront certainement vous intéresser. Extraits de livres, entrevues, rencontres, comptes rendus d’événements, de conférences, d’activités locales et nationales, le contenu qui vous sera offert sera à la fois large et complet. Dans chaque numéro, nous présenterons également des capsules qui vous ferons découvrir notre convention collective. Une autre rubrique dressera le portrait statistique d’un aspect lié à l’éducation ou la société. Nous espérons que vous prendrez la bonne habitude de lire votre Panorama21! Nous vous invitons d’ailleurs à participer à la rédaction en nous soumettant vos textes avant le 15 de chaque mois.

Une équipe à votre écoute!

La jeune et dynamique équipe syndicale est composée, cette année, de Nancy Quessy (secrétaire générale), Micheline Rioux (trésorière), Louis Marchand (applicateur de la convention), Grégoire Bédard (responsable des communications à l’interne) et Alexandre Boisvert (responsable de la gestion des dossiers des membres et des communications à l’externe).

Pour contacter un membre de l’équipe à des fins syndicales, nous vous demandons d’utiliser le courriel du SEECD (et non nos courriels personnels) ou encore de nous téléphoner (819-478-5454). Il nous fera également plaisir de vous accueillir au local 2330 (voir notre horaire à la page 4). Nous vous rappelons que du café et des chocolats vous y sont toujours offerts gratuitement. Profitez-en!

Toute l’équipe vous souhaite un excellent début de session!